Les deux armées se font face après mise en place du champ de bataille. Les sarsins sont les agresseurs, les deux éléments de décors en jaune représentent des dunes (bad going) et l'élément du milieu un marécage.
Les croisés sont en haut, les sarasins en bas. Ils commencent et tirent un six.
Après mouvement, la cavalerie légère contacte la ligne ennemie.
Plusieurs combats peuvent avoir lieu, en commençant par l'aile gauche, laquelle profited'une prise de flanc. Archers contre cavalerie légère, l'adveraire n'est pas idéal. Avec un trois contre un six, les cavaliers légers reculent.
Second combat, au milieu pour éviter une pénalité de bordement, cavaliers contre lances cette fois. L'optimisme est de rigueur, avant qu'un un contre un six ne scelle leur sort. Une unité de cavaliers léger en moins.
Troisième combat, cavaliers contre chevalier, général de surcroit, en débord défavorable. Un jet de dé de 2 contre un 1 n'y suffit pas, une seconde unité éliminée.
Quatrième combat, cavaliers toujours contre arbalétriers. Deux 5 aux dés, recul de l'attaquant. Presque un soulagement.
Vue partielle du champ de bataille à lafin de cette séquence. Il y a comme un vide !
Avec un jet de 1, le joueur croisé se trouve limité dans ses actions et avance sa ligne dans un mouvement de groupe.
Deux combats ont donc lieu. Avec un 2 contre un 4 pour le sarasin, il ne se passe rien.
Secon combat, les dés donnent un 1 contre un 2 pour le sarasin.
Second tour de jeu, les sarasins obtienent un six au dé d'initiative. Cela leur permet de restructurer la ligne de bataille, par l'apport d'une unité de cavalerie et d'avancer le reste de la troupe.
Premier combat, 5 contre 2, avec une prise de flanc, les archers n'y résistent pas.
Par contre avc un 1 contre un 5, (cela sent le déjà vu!) une troisième unité de cavalerie légère est éliminée.
Troisième et dernier combat de cette phase, cavalerie légère contre lances. 3 contre 1. Avec le double débord, statu quo.
Les croisés tirent un 3 au jet d'initiative. Largement suffisant pour aller au contact.
1 au dé contre 5 pour le sarasin, statu quo. Fin du second tour.
Jet de dé d'initiative pour le sarasin, un deux. Cela permet tout juste d'organiser une prise de flan sur les arbalétriers. 6 contre 6, les arbalétriers croisés tiennent le coup et font reculer leurs assaillants.
Second combat, cavalerie légère contre arbalétriers. 6 contre 3, statu quo.
Les croisés obtiennent un 6, de quoi en finir.
Les cavaliers ont pris de flanc par les lances. 6 contre 2, les cavaliers sont éliminés. La partie est reportéepar les croisés.
Vue du champ de bataille.